13 ans aujourd'hui (copié-collé du 18/12/2006)

Publié le par Milly

Cela fait treize ans aujourd’hui que mon papa est parti au ciel. Je suis sûre mon coeur que ton papy t’aurait aimé très très fort. De là où il est, il doit être très fier de toi mon bébé. Vous vous ressemblez tellement tout les deux, quand tu es né, c’est la première chose que j’ai dit en te voyant mais plus que la ressemblance physique, il y a aussi le caractère. Lui aussi s’est battu avec courage contre la maladie sans jamais se plaindre. Il était tellement courageux face à cette maladie qui lui avait pris jusqu’au droit de parler. Pour papy aussi, c’était une maladie très rare, la vie est souvent injuste. J’aimerais tellement qu’il soit là aujourd’hui, à mes côtés, pour t’aider à te battre. J’ai déjà passé la moitié de ma vie sans lui, c’était un papa extraordinaire, que tout le monde adorait. Il avait toujours du temps pour tout le monde, une petite attention pour les personnes âgées du villages où nous habitions, du temps pour nous, pour se promener, pour jouer. C’était aussi un mari formidable pour ta mamie, il ne se fachait jamais, au bout de 20 ans de mariage, c’était encore l’AMOUR avec un grand A. Le compagnon de mamie est un papy formidable pour toi, et tu l’adores, c’est très fort entre vous, j’en suis heureuse mais j’aurai tellement aimé que tu connaisses ton papy. Souvent, je lui parle à mon papa, je lui dit qu’il a de la chance d’avoir un petit fils comme toi et je suis sûre qu’il le sait et qu’il est très fière de toi mon bébé, de ton courage et de ta joie de vivre, c’est vrai que tu lui ressembles. 

 

Tu me manques tout les jours papa, je t’aime. Je ne céderais jamais devant la maladie de ton petit fils, je ma battrais comme toi tu l’as fait pour rester le plus de temps possible avec nous. Souvent quand je n’ai pas le moral, je sens ta force et je me rappelle ton courage face à la maladie et souviens-toi, on me disait toujours que j’étais tout toi, la digne fille de son papa, et je compte bien ne pas te décevoir. Je t’aime papa.

 

Mon bébé, je t’aime aussi très très fort. Tu es ma raison de vivre mon lou d’amour.


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